Albert Camus – L’étrangèr
Le livre „L’Étrangère“ commence avec une
morte. Le livre commence avec la morte de la mère du protagoniste (Meursault)
pour être exact. Mais extraordinairement le protagoniste Meursault ne s’y
intéresse pas, il ne sait pas seulement quel âge elle avait quand elle mourait.
Meursault est plus intéressé aux choses différentes, il est plus tôt fondu de
la nature. Très souvent le protagoniste dit des choses
comme : « Oh, c’est beau le soleil. » On pourrait dire que
Meursault perçoit le monde complètement différemment que l’homme moyen. Pour lui
ce n’est pas important, quel âge on a, si on veut lui marier ou que quelqu’un
meurt. Non, les choses qui sont vraiment relevant pour lui sont la beauté de
la nature et esthétique en général.
Just avant la fin de la première partie
Meursault tue un Arabe. Après cette événement une question très importante
reste : Est-il coupable ou pas ? Comme Meursault semble de ne pas
être très conquis quand quelqu’un meurt on peut dire que pour lui il devait
était égal, si cette Arabe était vivant ou pas. De surcroît il y a plusieurs de
facteurs qui auraient pu influencer Meursault. Un de ces facteurs est (quel
surprise) le soleil. Le soleil brillait est on pourrait avoir l’impression que la
chaleur, produit par le soleil, est responsable pour restreindre la capacité de
perception de Meursault. Parce que le soleil brillait, Meursault a sué et parce-que
Meursault a sué, la sueur a goutté dans ses yeux est c’est pourquoi il n’a plus
voit très clairement. Alors Meursault était complètement incapable de faire des
choses réfléchis. Dans une main il tenait toujours le revolver et dans ce
moment il s’est cramponné au revolver il a tiré quelques fois sur l’Arabe. Jusque
là on peut dire que le protagoniste a seulement agit comme ça parce qu’il était
influencé gravement par le soleil. Mais dans un but précis il a tiré encore
quatre fois sur l’Arabe, bien qu’il soit mort déjà . Avant Meursault a tiré
quatre fois et après il lui a déjà tué, il a secoué la sueur et le soleil et ça
veut dire qu’avant tirer encore quatre fois sur l’Arabe, Meursault n’était plus
influencé par le soleil et par la sueur. Le protagoniste a même dit, après
avoir tué l’Arabe, que la balance du jour est détruite, donc Meursault a
réalisé, que quelque chose a changé dans sa vie, un jour heureux est devenu
triste --- et quand même il tirait encore quatre fois ou peut-être que c’est
pourquoi il a tiré encore quatre fois?
Néanmoins pour moi, Meursault n’a pas tué
l’Arabe volontairement. D’abord qu’il a réalisé qu’il a tué un homme, il a tiré
volontairement. Pour le lecteur c’est difficile de suivre l’idéologie de
Meursault, alors c’est dur de comprendre pour nous, que Meursault a seulement
tiré quatre fois sur un cadavre, parce qu’il est fasciné par le son qui s’est
fait entendu quand la balle passait à travers le corps.   Â