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Abstract
Medical Science

University, School

Kolleg der Schulbrüder Illertissen

Grade, Teacher, Year

2010

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Dominique C. ©
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ID# 38829







Summary: Der Text bietet einen detail­lierten Einblick in die mensch­liche Repro­duk­tion, begin­nend mit den sexu­ellen Deter­mi­nismen und dem Zyklus der geschlecht­li­chen Fort­pflan­zung. Er behan­delt die verschie­denen Stufen der sexu­ellen Diffe­ren­zie­rung, einschließ­lich chro­mo­so­maler und phäno­ty­pi­scher Aspekte. Zudem werden gene­ti­sche Syndrome wie Turner- und Kline­fel­ter-Syn­drom erör­tert. Abschlie­ßend wird auf die psycho­lo­gi­schen Aspekte des Geschlechts einge­gan­gen, was die Komple­xität des Themas unter­streicht.

INTRODUCTION A LA REPRODUCTION HUMAINE

Chapitre 1 : Les detterminismes sexuels

Cycle de reproduction sexuée chez l’homme


Chez les espèces qui se reproduisent sexuellement, les cellules germinales subissent une division réductionnelle, la méiose par laquelle le contenu chromosomique est réduit de moitié, alors que la composition génétique de chaque chromosome est modifiée par un échange de segments entre

chromosomes homologues.

Les 2 gamètes (spz et ovocyte) s’assemblent pour former le zygote.


La différenciation sexuelle

Différenciation sexuelle= ensemble des processus qui contribuent à la mise en

place de l’appareil génital et à l’établissement de son dimorphisme sexuel.

Sexe chromosomique fecondation (depend du chrm du spz : X ou Y)

Sexe gonadique contrôle genetiques, implication de pls genes dont SRY (sur Y)
Sexe phénotypique (ou somatique ou corporel) hormones produites par gonades :

  • au cours de la vie feotale : caractere sexuel primaire (= organes genitaux internes et externes)

  • a la puberté acquisition des caractères sexuels secondaires (pilosité, poitrine …)


    Le genre et l’identité sexuelle sont sous l’influence complexe de facteurs biologiques (génétiques, hormonaux) et socio-culturels (influence de la société,

    des parents…)


    a) Le déterminisme chromosomique du sexe


    Caryotype= profil morphologique des chromosomes.(lymphocytes bloqué en métaphase + colchicine)


    22 paires de chromosomes autosomes et une paire de chromosomes sexuels (gonosomes)


    sexe homogamétique : femmelles, chrms sexuels XX ; sexe hétérogamétique : male chrms sexuels XY


    Etude des aneuploïdies

  • Syndrome de Turner

    Absence complète ou partielle d’un chromosome X , Seule monosomie viable: 45X0

    Phénotype féminin, petite taille, ovaires non fonctionnels, malformations squelettiques,

    cardiovasculaires, rénales….

  • Syndrome du triple X

    47XXX, Phénotype féminin, hypofertilité, difficultés d’apprentissage, parfois

    retard mental

  • Syndrome de Klinefelter

    47XXY , Phénotype masculin, grande taille, petits testicules (atrophie testiculaire),

    gynécomastie (développement mammaire), pilosité corporelle réduite, infertilité


  • 47XYY : Phénotype masculin, grande taille


    c’est donc le chrm Y qui détermine le sexe chromosomique (présence ou absence)

    Il est plus petit et contient 2%-3% du génome, une grande partie de l’ADN est heterochromatique. Il contient le gène SRY qui est dit interrupteur (de contrôle) qui règle l’expression d’autres gènes structurels


    b)Formation des gonades indifférenciées


    Les crêtes génitales se développent à partir du mésoderme à partir de la 4e semaine. Les cellules germinales primordiales (à l’origine des ovocytes et des spz) sont identifiables dès 21 jours, dans la paroi de la vésicule ombilicale (yolk sac), près de l’allantoïde. Ces cellules vont migrer vers les crêtes génitales vers la 5ème à la 6èmesemaine post fécondation.

    Gonade indifférenciée: Épithélium superficiel (épaississement épithélium coelomique) et cellules

    mésenchymateuses sous-jacentes progressivement colonisées par les cellules

    germinales primordiales

    Jusqu’a la 6e semaine gonades indifférenciées bipotentielles.

    Cellules somatiques cellules de soutiens + stéroïdogènes + conjonctives

    Cellules germinales


    Quels sont les gènes qui participent a la mise en place des gonades indifférenciées ?

    WR1= gene suppesseur de la tumeur de Wilms. Exprimée chez le fœtus humain dans le rein et gonades (chr11).
    Mutation hétérozygote phénotype variable avec agénésie ou dysgénésie gonadique et néphropathies

  • Syndrome de Denys-Drash : insuffisance rénale, ambiguïté sexuelle, néphroblastome (tumeur de Wilms)

  • Syndrome de Frasier : néphropathie, agénésie gonadique (inversion sexuelle chez patients 46XY)


    WT1 intervient dans les étapes précoces de développement de la gonade indifférenciée (en amont de SRY). Rôle également plus tardivement dans le développement de la gonade et le

    maintien de sa fonction.


    SF1= Acteur important de la formation et de la différenciation des gonades et des surrénales

    Mutations hétérozygotes de SF1(chr 9) dysgénésies gonadiques


    c) De la gonade indifférenciée au testicule et à l’ovaire


    Au testicules :

    Le gène SRY s‘exprime transitoirement au moment de la détermination testiculaire au niveau des précurseurs des cellules de Sertoli. Il agit comme un facteur de transcription pour activer d‘autres gènes et donne ainsi l‘instruction de fabriquer un testicule.
    SRY nécessaire et suffisant à la différenciation sexuelle mâle


    Inversions sexuelles

    Translocations de SRY sur l‘X ou un autosome homme 46 XX

    Délétions ou mutations de SRY sur l‘Yfemme 46 XY

    Il existe des hommes 46XX SRY nég: 45% inversions sexuelles

    Seuls 15% des patients XY avec inversion sexuelle ont une mutation de SRY

    SRY nécessaire et suffisant au développement mâle mais n’agit pas seul!


    SRY-related HMG box gene 9: SOX9

    Facteur de transcription, exprimé dans de nombreux organes dont le testicule.

  • Syndrome de dysplasie campomélique : XY avec mutation de SOX9 (chr17)

    phénotype féminin et problème osseux

  • individus XX (sans SRY) possèdant une copie surnuméraire de SOX9 ont un phénotype mâle .

    Sox9 est en aval de SRY, son expression persiste dans les cellules de Sertoli. De plus c’est l’un des facteurs activant l’AMH (= hormone anti-mulerienne)

    Grâce à des boucles de régulation positive via SOX9 lui-même, FGF9 et la prostaglandine D synthase (PTGDS), SOX9 maintient son niveau d’expression au sein de la gonade mâle .


    A l’ovaire

    Le gène WNT4 :

  • Sur-expression par duplication de WNT4 chez individus XYphénotype féminin

  • Inactivation par mutation du gène WNT4 chez individu XX: inversion sexuelle phénotype masculin



    Le gène R-spondin 1

    Expression dans la gonade fœtale (XX> XY)

  • mutation du gène R-spondin 1: inversion sexuelle chez individu XX phénotype masculin

    Agit comme un facteur anti male


    Dans la gonade XX, l’activation de la voie béta caténine, stabilisée sous l’action synergique de R-spondin 1 et WNT4 inhibe l’expression de SOX9


    Le gène FOXL2

    Facteurs de transcription exprimé dès 7ème semaime de développement dans la crête génitale femelle et par la suite à tous les stades de la folliculogenèse.

    Dans modèle murin, FOXL2 nécessaire au maintien du phénotype ovarien en postnatal en maintenant la répression de SOX9.


    Il y a beaucoup d’autres gènes impliqués… Et il manque de nombreuses pièces au puzzle…


    d) Du testicule et de l’ovaire aux caractères sexuels primaires


    Différenciation des organes génitaux externes et internes


    Les organes génitaux internes se développent à partir de précurseurs unipotentiels différents.

    Dans les deux sexes, sous les crêtes génitales se développent les ébauches

    des organes génitaux internes, deux structures unipotentielles, les canaux de Wolff (mésonéphriques) et les canaux de Müller (paramésonéphriques).


    Ebauche indifférenciée

    Différenciation mâle

    Différenciation femelle

    Canal de Wolff

    Epididyme, canal déférent,

    vésicule séminale

    régression

    Canal de Müller

    régression

    Trompes, utérus, 2/3

    supérieurs du vagin

    Sinus urogénital

    Prostate, glandes bulbourétrales

    1/3 inférieur du vagin


    Les organes génitaux externes se développent à partir de précurseurs bipotentiels :


    Ebauche indifférenciée

    Différenciation mâle

    Différenciation femelle

    Tubercule génital

    Gland du pénis

    Gland du clitoris

    Pli urogénital

    Pénis

    Petites lèvres

    Tubercule labio scrotal

    Scrotum

    Grande lèvres



    Déterminisme hormonal du sexe: expériences fondamentales de Jost


  • Castration fœtus male différenciation femelle

    Castration fœtus femelle différenciation femelle

    Greffe d’un testicule fœtal chez un fœtus femelle différenciation male


    La différenciation en deux sexes dépend de l’activité endocrinienne du testicule fœtal

    L’activité endocrinienne des ovaires n’est pas essentielle à la différenciation sexuelle

    pendant la vie fœtale.


  • Implant d’un cristal de testostérone chez un fœtus femelle différenciation mâle canal de Wolff + maintient canaux de Müller


    Greffe d’un testicule fœtal chez un fœtus femelle différenciation mâle du canal de Wolff +

    régression des canaux de Müller


    T


    différenciation mâle du canal de Wolff

    Testicule fœtal


    AMHH

    régression des canaux de Müller


    La descente testiculaire


    Les testicules migrent de la cavité abdominale jusqu’au scrotum. Lors d’une migration incomplète, on parle de cryptorchidie. La fonction endocrine du testicule est assez bien respectée, mais la cryptorchidie s’accompagne d’un déficit de la spermatogenèse. Température 4 à 7 degrés plus basse dans le scrotum et effet délétère chaleur sur spermatogenèse.


    Déterminisme hormonal du sexe : femelle


    Pas de testosterone feminisation

    Ovaire fœtal


    Pas d’AMH canaux de Muller maintien et féminisation



    Les anomalies du développement sexuel ou DSD


    Ceux-ci comprennent les dissociations entre sexe gonadique et sexe phénotypique.

  • Syndrome d’insensibilité aux androgènes (AIS) encore appelé « testicule féminisant » (complète ou incomplète) : Mutations du récepteur aux androgènes > récepteur peu ou non fonctionnel déficit d’action des androgènes au niveau des tissus cibles :

    Selon les mutations dans le gène, l’atteinte du récepteur aux androgènes est plus ou

    moins sévère. masculinisation incomplète avec ambiguïté sexuelle jusqu’au syndrome complet avec phénotype féminin normal à la naissance

    Transmission lié a l’X, risque de récurrence

  • Hyperplasie congénitale des glandes surrénales : Virilisation de fœtus féminins 46XX sous l’action des taux élevés d’androgènes produits par la surrénale ambiguïté sexuelle : Présence des structures Müllériennes + présence utérus, trompes, 2/3 supérieurs du vagin.


    Détermination du sexe à la naissance


  • La détermination du sexe à la naissance est une étape fondamentale qui contribue à l’acquisition du genre (= sexe social, comportements de masculinité et de féminité auxquels on s’attend dans chaque culture) et à l’identité sexuelle (= conscience, sentiment subjectif d’être un homme

    ou une femme). Une incertitude ou une erreur à ce stade précoce peut avoir des conséquences majeures sur la perception ultérieure par l’individu de sa propre image en tant qu’homme ou femme.

  • La détermination est basé sur les organes génitaux externes.

    Certains nouveaux-nés n’ont pas d’ambigüité sexuelle à la naissance mais s’avèrent présenter une discordance entre le caryotype et le phénotype ou entre les organes génitaux internes et externes. Le diagnostic peut être posé à la puberté (exemple aménorrhée= pas de règles ) ou à l’âge adulte (exemple stérilité).

  • Certains présente une ambigüité sexuelle à la naissance. Importance de poser un

    diagnostic avant d’orienter le sexe.

  • L’orientation du sexe doit être basée sur le meilleur pronostic au niveau psycho-social,

    psycho-sexuel, si possible au niveau de la fertilité dans un contexte culturel donné. En prenant en ligne de compte l’éventuelle imprégnation anténatale du cerveau par les androgènes, les possibilités de traitement chirurgical et les possibilités de traitement hormonal.


    e) Des caractères sexuels primaires aux caractères sexuels secondaires (voir cours sur la puberté)


    Le développement des caractères sexuels secondaires s’opère à la puberté.

  • Les oestrogènes ovariens induisent le développement mammaire et des organes

    génitaux féminins. Les androgènes surrénaliens et ovariens contrôlent la pilosité pubienne et axillaire féminine

  • Les androgènes testiculaires induisent le développement des organes génitaux, de la

    pilosité corporelle, la croissance du larynx et des muscles laryngés (mue de la voix).


    L’activation gonadique à la puberté sous-tend le développement

    des caractères sexuels secondaires.

    Caractères sexuels primaire

    testostéroneoestradiol



    Caractères sexuels

    secondaires

    féminins

    Absence activation gonadique

    Caractères sexuels

    secondaires

    masculins

    (problème hypothalamohypophysaire

    ou dysfonctionnement gonadique

    Pas de stéroïdes sexuels


    Aspect infantile







    Les stades de Tanner

    Le développement des caractères sexuels secondaires a lieu à des âges chronologiques différents d’un individu à l’autre. Toutefois, leur séquence d’apparition est caractéristique pour chaque sexe.

    f) Déterminisme psychique du sexe : des caractères sexuels au comportements sexuels


    1. Genre et identité sexuelle


    Genre= désigne le sexe social c-a-d les comportements qu’on dit représentatifs d’un sexe et de l’autre. Différents d’une culture a l’autre.
    Chaque model sociétal a des stéréotypes du genre : ensemble des convention. Elles varient avec le temps. références culturelles


    Identité sexuelle = ce que l’on ressent, ce qu’on fait de sa sexualité, de son sexe. Inclus l’activité sexuelle. Se voir femme ou homme.


  • Il arrive que le sexe biologique, le genre et l’identité sexuelle ne coïncident pas… (transgenre).


    Exemples de stéréotype sexuelles :


    Les stéréotypes du genre constitue un schéma social , élément de classification des sexes. La plupart des attribut des genre ont un rôle de fond dans la perception de soit et des autres. La dualité s’expose au piége de la norme sociétal : marginalisation des individus s’écartant des stéréotype. Comportement plus acceptable en fonction du rôle : être une fille masculinisée est plus accepté qui d’être un homme efféminé.


    Exemple : manuel scolaire québécois de 1960, texte dictant les comportement que la femmes doit adopter face a son mari. On retrouve beaucoup de machisme et de soumission. Notamment les plaisir de la femme dans les relations sexuelles intime ne compte absolument pas, elle doit se tenir a disposition de son mari et accomplir toutes les taches ménagères toutes seule en faisant attention a ne pas énerver son mari.



    1. Dimorphisme sexuel hormonal, cérébral et comportemental

  • mammifères non primate

    Expérience sur des rats : les comportements des mâles et des femelles sont différents

    Mâle : approche, investigation ano-genital, monte

    Femelle :sollicitations, lordose

    comportements prédominants mais pas absolu


    Chez rats, période de masculinisation dépend de l’imprégnation cérébral androgène a un moment précoce du développement (fin de période fœtale) , donc pas mental.


  • Expérience :

  • Traitement :rat femelle par androgènes pendant les 51 premiers jours de la vie comportement masculin

  • Castration de rat mâle comportement femelle


    L’exposition au stéroïdes sexuels pendant la période critique affecte la structure du cerveau en développement.


    Un traitement androgénique de rates induit des changement dans l’aire préoptique du cerveau adjacente a l’hypothalamus : SDN POA = Sexually Dimorphic Nucleus of the Preoptic Area


  • Mammifères primates


    Chez mammifère non primate, les hormones induisent des modifications neuroanatomiques et comportementales de la même façon qu’elle conduisent au dimorphisme des organes génitaux . Mais différence quantitative sans être absolue quantitativement simpliste de penser que SDN nécessairement associé à des comportements spécifiques


    Limitation des modèles de l’influence de l’exposition cérébral aux hormones

    Très très difficile d’étudier le comportement sexuel chez les humains.


    Biologie ou apprentissage social ?


    Structuration cérébrale pourrait différer en terme de sexe et d’identité sexuelle mais difficile de définir si il existe un effet hormonal direct sur le développement cérébral ou sur l’identité sexuelle.

  • Exstrophie vésicale (coacal extriphy) (=L’exstrophie de vessie est une malformation complexe qui intéresse non seulement la vessie, mais aussi l’urètre, la paroi abdominale, la ceinture pelvienne, le périnée et les organes génitaux externes.) chez des enfants XY

    Malformation génito-urinaire, fœtus masculin mais pas de pénis

    Cause non endocrinienne : testicule normal imprégnation androgènique normale

    Correction chirurgical a 15jours de vie : transformation en fille

    Elevée en fille.


    Résultats : sur 14 cas :

    -6 :identité et rôle sexuel masculins

    -5 identité et rôle sexuel féminins

    -2 pas clair

    -1 ne veut pas répondre


  • Hyperplasie congénitale des surrénales (imprégnation androgénique prénatale de fœtus féminins XX et ambiguïté sexuelle a la naissance)

    Les filles ont des dessins masculinisé dès l’âge de 5 ans.

    A l’âge adulte, peu de conséquences durables si HCS a une importance mineure et que les individus ont été identifié comme fille a la naissance et éduquée comme tel.

    relations hétérosexuelles

    pas de troubles de l’identité et du genre


    Si masculination des organes génitaux sévère et identification et éducation comme garçons identité sexuelle adulte de type masculin.


    Importance du contexte social éducatif !!


    1. Influence de l’apprentissage social sur l’acquisition du genre

    « On ne naît pas femmes on le devient » Simone de Beauvoir


    Les modalités d’interaction entre les bébés et leur entourage accentuent les différences du genre.

    Ex : Vidéo enfant en train de jouer il se met a avoir un autre comportement colère ? Peur ???

    Info préliminaire enfant = garçon enfants fâché

    Info préliminaire enfant = fille peur, anxiété


    Interprétation différentes sur une même réaction


    Comportement renforcés ou ressentis d’une façon spécifique du genre en réponse aux attentes des autres. Importance et subtilité des stéréotype du genre et sur leur application aux enfants depuis la naissance (ex : jouets).

    Dès l’âge de 2 ans, identification des enfants comme filles ou garçons et un peu plus tard association de certains comportements au statut féminin ou masculin.


    Les bébés de sexe différents extériorisent très tôt des comportements différents mais on ne sait pas si ces différences proviennent d ‘une cause génétique, endocrinienne ou sociale.

    Il s’agit vraisemblablement d’une combinaison, de ces différents facteurs.


    CONCLUSIONS


    Le déterminisme sexuel est un long processus qui commence avec l’expression du message génétique qui établit la nature de la gonade fœtale puis s’étend à partir de chaque individu. La biologie et l’environnement éducatif interagissent de façon complexe dans cette construction.

    L’enjeu des différences sexuelles ne réside pas tant dans les différences elles-même que dans la façon dont ont les aborde. La dualité nous expose au piège de la norme. L’enjeu est de talle car on s’appuie sur des différences pour exercer une discrimination souvent violente.










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