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Erörterung
Französisch

Freie Universität Berlin - FU

2017

Gabriel Y. ©
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Émission Philosophie : Subjet du Meurtre. (Philosophie: Meurtre)

Philosophie : Meurtre


Cette émission de Philosophie a été diffusée le premier décembre 2013 sur Arte. Le modérateur Raphael Enthoven débatte les différents aspects du meurtre avec son invitée la philosophe Corinne Pelluchon.

Ils commencent leur discours par une citation du sixième commandement de la bible. Raphael Enthoven pose à ce point la question si ceci est un Ordre dans le sens « tu ne dois pas tuer Â» ou plutôt un constat Â« tu ne peux pas tuer Â» supposant qu’il reste toujours quelque chose qui ne peut pas être tué, alors dont on ne peut pas nier l’existence.

Corinne Pelluchon remarque qu’il est nécessaire de distinguer entre différentes types de meurtre et de violence. En représentation de ces genres ils emploient des images à l’aide desquelles le spectateur est introduit aux divers aspects.

Les deux philosophes commencent part une photographie du Ché Guevara le jour après son assassinat. Madame Pelluchon illustre qu’une première distinction est celle d’un assassinat politique avec contexte politique. Dans ce cas la cible du meurtre n’est pas une personne en soi, mais ce qu’elle représente.

Dans un deuxième temps ils se dévouent à une image d’Abel. Ce Meurtre est maintenant considéré le contraire du meurtre du Ché. Cette fois ci, l’objectif du meurtre n’est pas ce qui est incorporé par la victime, mais c’est la victime même. Le meurtrier veut anéantir son l’existence de son victime.

Continuant leur débat, Enthoven présente une image du film « The Shining Â» de Kubrik. Celle-ci traite le meurtre sans motif. C’est un meurtre juste pour l’acte de tuer, poussé par une folie meurtrière. Sur ce fond, Enthoven constate qu’un tueur, n’importe qu’elle cause il a pour commettre cet acte, reste toujours un meurtrier.

Pelluchon ajoute qu’un autre aspect de ce cas soi le fait que ce meurtre était devant un fond d’autres meurtres et d’actes de violence. Elle remarque, que nous sommes aussi saisit par les actions des autres. En plus, la peur de la mort, qu’ont tous les êtres, est une peur physique, pas intellectuelle.

Restant en perspective de la victime, Enthoven avance la thèse que tout le monde et tous les êtres tiennent une conscience de leur mort. On passe au dernier aspect qui est illustré par l’image d’un poulet auquel on coupe la tête. Pelluchon voit tout d’abord un point commun entre l’homme et l’animal.

Prenant le perspective du meurtrier, elle distingue maintenant entre le meurtre d’un animal ou celui d’un autre homme. La discussion tourne à ce point vers le végétarisme et le droit de l’homme de tuer les animaux. La philosophe explique, qu’aujourd’hui les gens ne sentent plus conscient que les animaux qu’ils mangent ont été tués.

Elle remarque d’autre part, que pour tuer un animal il est nécessaire de se dire : « Ce n’est qu’un animal Â». Car sinon, on sent la pitié.

À la question s’il y a une hiérarchie dans le meurtre, Pelluchon fait une dernière distinction entre l’humain et l’animal. Elle relève qu’avec les animaux, on ne peut pas, contrairement aux humains, avoir le désir de les anéantir.



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