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Zusammenfassung
Biowissenschaften

Gymnase d'Yverdon

Biologie

Gabriele R. ©
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ID# 75544







Rapport TP cœur et circulation

Introduction :

Le cœur est le moteur central de la circulation sanguine. Sans une bonne circulation, notre organisme ne pourra pas fonctionner correctement. Nos organes ont besoin de l’oxygène et des nutriments que le sang transporte. Pour assurer aux muscles une bonne alimentation en en glucose et en oxygène, le cœur doit constamment s’adapter au travail de l’organisme.

A chaque fois que les ventricules se contractent, une certaine quantité de sang est expulsée dans les artères. La pression augmente très vite mais baisse aussitôt que le sang passe dans les capillaires. Ensuite une contraction ventriculaire augmente la pression de nouveau.

Ce changement de pression est appelé pouls. Ce dernier correspond au nombre de battements par minute.

On peut écouter les bruits cardiaques à l’aide d’un stéthoscope. Grâce à cet outil, on peut vérifier s’il n’y a pas de problème avec l’ouverture et la fermeture des valvules. C’est à ce moment qu’on peut voir s’il y a un souffle au cœur.

La pression artérielle est la pression exercée par le sang contre les parois des artères. Elle représente la force qui permet de faire circuler le sang à travers tous les organes. Pour la mesurer, on encercle le bras d’un manchon que l’on gonfle pour empêcher le sang de circuler dans l’artère tumorale.

Lorsqu’on relâche l’air, on entend un son avec le stéthoscope lorsque le sang passe de nouveau dans l’artère, à ce moment on peut lire la tension maximale, qui est la pression systolique. A la disparition du son, on a la tension minimum, qui est la pression diastolique).

Le débit cardiaque s’adapte à l’effort de l’homme. Au repos le débit cardiaque est d’environ 5 l/min, alors qu’à l’effort, il peut augmenter jusqu’à 25 l/min.

On mesure aussi la quantité de sang propulsée par le ventricule gauche pendant une certaine durée, ça nous donne le débit cardiaque. Il est mesuré en ml/min. Au repos, le ventricule gauche propulse environ 70 ml de sang par minute. Notre aptitude à l’effort dépend de notre fonction cardiaque.

Le pouls d’un athlète est plus bas qu’une personne normale. Lors d’effort physique, le pouls augmente moins vite et après effort, la récupération se fait plus vite pour l’athlète.

But :

Le but de ce travail pratique est :

  • De mesurer notre pouls radial et carotidien

  • D’écouter le bruit de la fermeture et de l’ouverture de nos valvules cardiaques

  • De mesurer notre pression artérielle

  • De voir la capacité de notre cÅ“ur à s’adapter à l’effort

  • De calculer notre débit cardiaque

  • De calculer notre aptitude à l’effort à l’aide du Test de Ruffier

  • De comparer nos résultats

Méthode utilisée et démarche :

  1. Le pouls :

Pour calculer le nombre de battement que nous avons en une minute, nous avons placé notre index et notre majeur sur le poignet, au niveau du radius, puis nous avons compté le nombre de fois que nous sentions notre pouls en 20 secondes, puis ce nombre a été multiplié par 3, pour avoir ce nombre en une minute.

Ensuite, on a fait de la même manière pour calculer notre pouls carotidien, qui se mesure dans le cou, sur les carotides.

Pour écouter les bruits cardiaques, nous avons pris un stéthoscope que nous avons appliqué sur la poitrine au niveau du cœur. Nous avons donc pu écouter les battements de notre cœur par ce moyen.


  1. La pression artérielle :

Afin de mesurer notre pression artérielle, nous avons pris un manchon avec lequel nous entourons le bras au niveau de l’humérus. En faisant gonfler ce manchon d’air, nous empêchons le sang de circuler dans l’artère humérale. En prenant à nouveau un stéthoscope qu’on place dans le creux du coude cette fois, on peut entendre le sang circuler dans les veines.

Lors de la compression de la veine humérale, le sang ne circule plus, on entend donc rien dans le stéthoscope. Lorsqu’on dégonfle lentement ce manchon, on va entendre un bruit, qui correspond au sang qui arrive à repasser dans l’artère. Lorsque ce bruit se fait entendre, on va lire sur le manomètre un chiffre qui correspondra à la tension la plus haute qu’on a (pression systolique).


  1. Adaptation cardiaque et respiratoire

Au repos, nous avons mesuré grâce à un appareil électronique, notre rythme cardiaque (nombre de pulsation en une minute), notre pression systolique (tension maximale) et notre pression diastolique (tension minimum). Nous avons aussi compté notre rythme respiratoire (nombre de fois que nous respirons en une minute).

Puis nous avons fait 3 minutes d’effort (monter les escaliers en courant) et entre chaque minute, on mesurait, grâce au tensiomètre, toutes les valeurs cherchées.

Ensuite nous nous sommes reposés 3 minutes et nous avons fait de même, entre chaque minute de repos, nous avons mesuré les valeurs cherchées.


  1. Effort physique et débit cardiaque

Le débit cardiaque chez une personne en bonne santé et avec une activité physique raisonnable se situe aux alentours de 70 ml/min.

C’est un test d’aptitude à l’effort qui dépend de la fonction cardiaque de chacun.

Nous avons pris notre pouls au repos(P0), puis nous avons effectué 30 flexions de jambes en 45 secondes, et nous avons repris notre pouls (P1). Nous avons ensuite fait une pause de une minute, et suite à cette pause, nous avons repris encore une fois notre pouls (P2).

Puis d’après un calcul, qui est le suivant : I= [(P0 + P1 + P2) - 200] /10

Nous avons pu interpréter le résultat suivant :

  • CÅ“ur athlétique : I = < 0

  • CÅ“ur moyen fort : I = de 0,1 à 5

  • CÅ“ur moyen bon : I = de 5 à 10

  • CÅ“ur faible : I = >10


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